DEPRESSION, la tueuse silencieuse…

Rien dans ce monde ne peut nous tourmenter autant que nos propres pensées…

4 h: Je suis nul.le, plus rien ne me fait plaisir.

10h: je reste couché.e, je ne dors pas, je me sens coupable de rester là à ne rien faire, je veux me lever, mais…

18h: je n’ai pas pu me laver, je suis si fatigué.e ; on va encore me regarder avec pitié, je ne supporte plus ça ; je m’en veux de leur faire subir ça… C’est mieux de rester ici pour ne pas déranger les gens, avoir à expliquer quelque chose que moi-même je ne comprends pas…

Chez certaines personnes dépressives, c’est ce type de pensées négatives qui font une sorte de cercle vicieux qui bouffe progressivement toute énergie et toute volonté chez la personne qui en souffre.

Chez d’autres personnes, c’est le sourire, une « apparente joie de vivre » qui masquent une profonde détresse. Ainsi, derrière un sourire, un « ça va bien », un travail, une famille, un bon salaire ; derrière des amis, des sorties tous les soirs, une vie « bien remplie » ; derrière tout ça, on peut être mal dans sa peau. Même avec une bible, et en allant à l’église régulièrement; même en étant croyant; on peut souffrir d’une dépression…

La dépression est belle et bien, une tueuse silencieuse, qui peut avoir plusieurs visages en fonction des individus, de leurs personnalités, de leurs vécus, du contexte et de leur culture. Il y a par exemple des personnes chez qui la dépression commence à se manifester (à travers la somatisation) par une série de malaises physiques médicalement inexpliqués ; qui finissent par s’installer sur le long terme : maux de tête, troubles du sommeil, douleurs diffuses, troubles de l’appétit, troubles alimentaires, perte de la libido ; fatigue…

Quelques  faits et chiffres…

Selon les estimations, la tueuse silencieuse s’attaque à 300 millions et est la première cause d’incapacité dans le monde. On observe aussi que les femmes sont plus atteintes que les hommes. Dans le pire des cas, quand rien n’est fait et qu’il n’y a pas de prise en charge ; la dépression peut conduire au suicide.

En 2017 au Cameroun, on pense que 5 à 10%  de la population est touchée (aujourd’hui en 2021, il doit avoir un boom des cas de dépression, vu les cas de suicide qui ont beaucoup augmenté). Mais ces chiffres sont plus élevés parce que tous les cas ne sont pas répertoriés, il y a une ignorance de la maladie et de ses symptômes, et la plupart  des cas sont masqués, et donc sous diagnostiqués.

Quelques idées reçues sur la dépression …

On sûrement déjà entendu dire de la dépression que c’est une « maladie des blancs » ;une« maladie des bobos ». On a souvent dit aux personnes qui souffrent de dépression qu’elles sont «faibles », « plaintives », « capricieuses », « paresseuses », « égoïstes » que c’est parce qu’elles ne prient pas assez, que leur foi n’est assez grande, que c’est parce qu’elles ne connaissent pas Dieu ;qu’il y a pire que d’être  « déprimé » (pour ne pas dire dépressif) dans la vie. On ne les a pas souvent prises au sérieux ; on leur a souvent fait sentir  qu’il n’est pas tolérable, ni acceptable d’avoir les nerfs fragiles.

Si seulement c’était aussi simple ! C’est une MALADIE mentale psychosomatique due à un dérèglement de l’humeurqui n’a rien à voir avec le caractère, les difficultés qu’on peut traverser ou la foi. Ce sont toutes ces croyances erronées, ces attitudes maladroites qui rendent les dépressifs honteux et coupables, favorisent leur repli sur eux-mêmes, et les empêchent de demander de l’aide. Il y a pourtant des choses qu’ils aimeraient que vous sachiez.

Les symptômes.

On va donc observer chez la personne :

  • une grande tristesse, un sentiment de désespoir (humeur dépressive),
  • une perte de motivation et de facultés de décision,
  • une diminution du sentiment de plaisir, une perte progressive d’intérêt pour les choses qu’on aimait faire avant,
  • des troubles alimentaires et du sommeil,
  • une faible estime de soi, une  grande impression de ne pas avoir de valeur en tant qu’individu.
  • des pensées négatives, morbides, des idées suicidaires, des tentatives de suicide
  • des troubles psychosomatiques (malaises physiques causés ou aggravés  par l’état d’esprit)

Pour qu’on parle de dépression, d’épisode dépressif, il faut que ces symptômes soient présents tous les jours, pendant au moins deux semaines et plus. L’humeur, les pensées, les émotions ; le corps  et le comportement vont être grandement affectés avec des répercussions plus ou moins sévères sur le fonctionnement quotidien de la personne ;  en fonction du stade de la maladie. (oui oui ! Il y a des stades !)

Déprime vs dépression

La santé mentale est un état de bien-être qui peut subir des hauts et des bas, c’est pour ça qu’il est important d’en prendre soin. Quand l’état de mal-être perdure, et qu’on n’arrive plus à y faire face de manière adaptée, on est exposé à la maladie mentale.

Aussi, la plupart du temps la confusion entre déprime et dépression est une chose qui fait en sorte que  la souffrance du malade ne soit pas prise au sérieux :

  • la déprime est un état de tristesse normal ponctuel et passager après les coups durs de la vie
  • la dépression est une maladie chronique, caractérisée par une  humeur  dépressive quasi permanente qui invalide la personne ; des idées noires et négatives, une faible estime de soi et un profond sentiment  de dévalorisation

Les causes

Il est à noter que jusqu’à nos jours, les études scientifiques sur l’origine de la dépression sont toujours en cours et restent assez complexes. La cause peut être :

  • génétique, des antécédents familiaux : des personnes dépressives sur une ou deux générations
  • biologique, due à un déficit au niveau des neuro transmetteurs de la sérotonine qui fait partie des « hormones du bonheur »
  • environnementale ; mauvaises habitudes de vie ; conception culturelle de certaines maladies, conditions de vie(pauvreté ; stress ;chômages ; difficultés socio-économiques), traumatismes et blessures d’enfance
  • évènements de la vie,  pertes consécutives, échecs répétitifs ; guerre ; catastrophe ; maltraitance.

Types de dépression

C’est donc l’occasion de savoir qu’il existe plusieurs types de dépression, (vous voyez que c’est beaucoup plus complexe que ça en a l’air), c’est donc indispensable de rencontrer un psychiatre et/ou un psychologue pour poser le bon diagnostic et apporter une prise en charge adaptée. On aura donc :

  • le trouble dépressif majeur; dysthymique; maniaco-dépressif/ trouble bipolaire
  • la dépression du post partum couramment appelée « babyblues »
  • la dépression masquée

Troubles associés

Maintenant, il faut savoir que quelqu’un qui souffre de dépression peut présenter d’autres troubles de la santé mentale et d’autres maladies psychosomatiques telles que : l’anxiété ; la dépendance à une substance, à un comportement ou sur le plan affectif ; des maladies cardio-vasculaires, des maladies chroniques (diabète, cancer,VIH/SIDA)

Les personnes les plus exposées

Dans la plupart des cas, ce sont :

  • les femmes qui consultent plus : problèmes de pauvreté, paramètres liés à la condition de la femme, violences conjugales plus fréquentes, (et bien sûr, les hommes aussi sont concernés)
  • les jeunes
  • des personnes du 3e âge; celles qui ont une orientation sexuelle non conventionnelle ou qui souffrent d’une maladie chronique

Les facteurs de risque

La probabilité de souffrir d’une dépression est plus élevée si il existe les facteurs suivants :

  • conditions de vie difficile
  • pertes consécutives
  • stress chronique
  • antécédents  d’abus sexuels répétés; de maltraitance, famille dysfonctionnelle, parents toxiques,
  • vie professionnelle insatisfaisante
  • sentiment persistant de perdre le contrôle de son existence
  • vivre avec un proche dépressif
  • avoir déjà vécu un épisode dépressif majeur
  • facteurs endogènes à la personne, c’est-à-dire qui viennent de l’intérieur, qui sont liés au fonctionnement psychique de la personne

Que faire quand on souffre de dépression ?

  • tout faire pour en parler à quelqu’un
  • se rapprocher  d’un professionnel de la santé, médecin ; psychiatre, psychologue, psychothérapeute pour une meilleure orientation ; avoir un bon diagnostic  et être informé des solutions qui pourraient vous aider
  • accepter que  c’est  une maladie, une vraie comme tant d’autres et qui a besoin d’être traitée pour retrouver un mieux être
  • suivre un traitement à base de psychotropes et/ou d’une psychothérapie en fonction de la sévérité de la dépression
  • avoir beaucoup de volonté et faire beaucoup d’efforts aussi petits soient ils pour vous (ils ont toute leur valeur) pour suivre son traitement
  • savoir que sans accompagnement ; votre état ne pourra  que s’aggraver
  • ne pas abandonner

Comment vivre avec un proche qui souffre de dépression ?  Le rôle de la famille, l’entourage ; les amis

  • Accepter et comprendre que c’est une MALADIE !! Pas une faiblesse ; un caprice ou la paresse, cela n’a rien à voir avec le fait d’être croyant ou pas
  • faire preuve de beaucoup de patience , d’amour et de persévérance ; ce n’est pas évident comme situation et la personne ne fait pas exprès.
  • encourager le proche à aller consulter ; à respecter ses rendez vous
  • réajuster ses attentes par rapport  à l’état actuel des choses et non par rapport à l’image passée de la personne, par ex, on n’attend pas d’une personne qui souffre d’une fièvre typhoide par ex ; qu’elle fasse les courses ou qu’elle se rende à son lieu de service ! On fait tout pour l’encourager à faire ce qui va l’aider à se remettre sur pied. Les « c’est faire une petite chose comme ça qui te dépasse ? Bouge-toi ? Même te laver ? » sont contre productifs et renforce encore le sentiment de honte et de culpabilité ressenti ; et nourrit l’état dépressif de la personne
  • encouragez et valoriser le moindre petit effort  que la personne fait dans le bon sens (en se rappelant que l’action la plus banale pour vous lui coûte un effort surhumain)
  • l’encouragez petit  à petit  à reprendre les activités qui lui faisaient plaisir ou lui en proposer de nouvelles, malgré les refus
  • ce sera dur ; mais ne vous oubliez pas, n’oubliez pas de vivre pour prendre un peu de distance et vous recharger émotionnellement parce que c’est très épuisant et  puis vous n’êtes  pas son médecin !
  • évitez les remarques blessantes ; les critiques et les humiliations qui vont encore davantage renforcer le sentiment de dévalorisation et de culpabilité que le dépressif ressent quasiment tout le temps, et augmenter son isolement
  • n’abandonnez pas !

La dépression est aussi à mon avis un signal fort que votre esprit vous envoie pour vous dire que votre manière de fonctionner jusque là n’était pas saine et qu’il faudrait absolument l’améliorer pour pouvoir s’en sortir. Beaucoup de courage à toutes les personnes qui passent par là, aux proches aussi; le rétablissement peut être long, difficile, douloureux, en dents de scie; mais ça reste possible quand on est pris en charge le plus tôt possible. Une fois qu’on n’y arrive, on comprend l’importance de faire des choses pour soi même, des choses qui nous font réellement du bien et on fait plus attention à sa santé mentale

Prenez soin de vous, Samuella Mon Psy Online.

Tags : dépression, trouble dépressif, maladie mentale, suicide, psychiatre, psychotropes, psychologue, psychothérapie.

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Je suis Samuella NOUMEDEM, psychologue clinicienne basée à Douala au Cameroun et je réponds au +237 679972937. Cliquez ici pour me retrouver sur Whatsapp : wa.me/237679972937.

Qui c’est le Psychologue?

Le psychologue,définition.

C’est un professionnel de santé, diplômé de psychologie, expert du comportement, des émotions et de la santé mentale. Il a étudié les pensées, les émotions et le comportement du genre humain. On a donc différentes domaines d’interventions : l’éducation, le social, le travail, le milieu carcéral, la gériatrie, l’enfance, l’adolescence; etc… Le psychologue qui s’est spécialisé dans le l’aide et le soin psychologique accompagne les personnes qui souffrent sur le plan psychologique; et les aide à retrouver leur équilibre et leur santé mentale. Il le fait grâce aux psychothérapies qui nécessite des formations complémentaires, quand elles ne sont pas intégrées dans le cursus académique, en fonction du pays dans lequel on se trouve. Cette souffrance peut être causée par des événements douloureux et stressants du quotidien (deuil ; rupture ; perte d’un emploi ; agression ; catastrophe naturelle ; burnout ; guerre…), ou par des troubles psychiques plus sévères (dépression ; anxiété ; état de stress post traumatique, troubles bipolaires).

N’allez pas croire que c’est facile ; qu’on se lève un matin et hop ! On est psy ! Non Non ! Pour y arriver, il faut passer par un minimum de 5 années d’études universitaires couronnées par un master spécialisé en fonction de l’orientation choisie ; et de deux ans de stage pratique. Ce n’est qu’après ce cursus qu’on peut être appelé psychologue. Maintenant, on peut cumuler plusieurs années de pratique sur le terrain ; pousser les études, faire des formations complémentaires en fonction de ses réalités professionnelles, culturelles et de ses aspirations personnelles.

Le psychologue est donc différent du psychiatre, qui lui a suivi des études de médecine ; s’est spécialisé dans l’étude, la compréhension et le traitement des maladies mentales et utilise d’ailleurs des médicaments pour soigner ces dernières.

Le psychologue, aperçu…

Comme pour tout métier de la santé à mon avis, il ne suffit pas d’avoir une formation pour être un bon professionnel ; il faut aussi de bonnes prédispositions individuelles ; beaucoup dl’intérêt et d’amour pour l’être humain. On verra donc des psychologues exercer dans différents domaines tels que: la clinique comme moi ; l’éducation ;l’enfant ; le travail ; la recherche ; la sexualité ; la criminologie ; le social, etc. …

De ce fait, vous convenez avec moi que le psychologue est bel et bien un professionnel qui a travaillé dur pour pouvoir être en face de vous ; a appris un bon nombre de choses et a été évalué; validé pour pouvoir être capable de vous aider.

Alors, au final  pour nous qui sommes ici (dans le cadre clinique), qui c’est le psy ? Visualisons ensemble : imaginez que vous soyez mal dans votre peau et que vous rencontriez une personne qui veut apprendre de votre passé ; de votre présent ; pas pour vous juger, vous moraliser ou vous punir ; mais au contraire pour comprendre comment vous avez vécu jusque-là pour pouvoir vous aider à savoir comment vous allez dorénavant fonctionner pour pouvoir retrouver votre bien être. Eh oui, le psy c’est cette personne-là qui est tenue au secret professionnel, qui vous écoute, vous aide à mieux prendre soin de votre être à travers la parole, des entretiens ; des tests, des exercices et vous accompagne sur le chemin du mieux-être, du rétablissement.

On peut ressentir de la gêne, de l’embarras ou même de la honte (ce qui est tout à fait normal vu l’aspect assez intime de la chose) devant le psy, mais c ‘est une relation de confiance qui s’établit progressivement, dans laquelle on trouve son rythme, on aborde des aspects de nous quand on est prêt. C’est vraiment un des rares espaces où l’on peut parler de tout ce qu’on ressent ; je dis bien de TOUT à quelqu’un qui n’a pour seul but que de vous aider à vous sentir mieux ; tout en restant neutre et objectif. Plutôt cool vous ne trouvez pas ?

Qui c’est le psychologue?

L’argent, nkap!

Si jusqu’ici on était ensemble; c’est à ce moment précis quand on aborde le côté paiement que certaines personnes (sinon la plupart) font marche arrière hihihi! Et on entend: « seulement pour ça? juste pour causer? Pourquoi payer alors que je peux le fouetter ou parler à un ami? Par séance? C’est beaucoup hein! Et en plus, il n’y a même pas de comprimés! ». Moi, je vous dirai que ça a peut être l’air d’une « causerie »; mais pas réalisée n’importe comment; c’est un service de santé, une prestation réalisée par un professionnel qui pour toutes le raisons évoquées plus haut doit être payé au même titre qu’un autre professionnel tout court.

Pause…

Par ailleurs, essayons encore de visualiser: vous avez une situation qui vous ronge de l’intérieur, votre corps vous alerte de temps en temps; à des moments; c’est votre humeur qui change; vos émotions, votre motivation qui sont affectées, les autres parfois vous font des remarques sur votre comportement… Vous vous dites, c’est pas grave, ça va aller, je gère (et c’est vraiment le sentiment que vous avez à ce moment là); voir un psychologue, pourquoi faire? C’est cher (et pourtant au même moment vous pouvez sortir sans réfléchir l’argent d’un examen médical, boire un casier de bière, vous acheter une perruque, économiser pour vous acheter un nouveau téléphone, renouveler votre abonnement au câble) et puis je ne suis pas malade, je ne suis pas fou! Tout ceci en oubliant que personne n’est à l’abri, que la maladie ou la folie ne viennent jamais brusquement, qu’il y a toujours des petits signes sur la durée, qu’il s’agit surtout de votre SANTE!

Ensuite, quelque chose qui aurait pu se régler en quelques séances, en quelques mois et vous aider pour le reste de votre vie (puisque le psychologue vous aide entre autres, à trouver vos ressources personnelles et à améliorer celles qui étaient déjà là); devient quelque chose de beaucoup plus grave; qui resurgit 5, 10 ans plus tard en ravageant tout sur son passage, le corps, l’esprit, le social, le conjugal, le sexuel, le familial, le professionnel. A ce moment, vous vous retrouvez entrain de dépenser beaucoup plus, un argent et une énergie que vous n’avez même plus ou pas, à courir de gauche à droite partout où une potentielle solution se présente (hôpital, pasteur,prêtre, guérisseur, marabout) pour au final vous retrouver chez qui ? Le psychologue, le psychiatre qui va vous donner (pas gratuitement) ces médicaments que vous vouliez tant au début! Et quelque chose qui aurait pu se régler en peu de temps (ça ne vous rappelle rien?!)…bref vous connaissez la suite, ironique non?

Play!

Toute cette petite histoire pour vous dire que c’est de notre santé qu’il s’agit, oui on n’a pas la culture, ce n’est pas dans nos habitudes,on n’a pas toujours les moyens,mais disons nous bien que quand on n’est pas bien dans sa tête, je vous assure on ne peut rien faire, on se retrouve paralysé. N’est-il pas normal que les personnes qui sont qualifiées pour nous aider à retrouver cet équilibre, qui est essentiel pour notre épanouissement soient reconnues et payées ? N’est-ce pas à nous de revoir nos priorités?

Tout compte fait ; le psychologue n’est pas un charlatan, un prédicateur et n’est pas aussi intimidant que ce que l’on imagine ! De toute façon, c’est à chacun de se faire sa propre idée ; les psychologues n’utilisent pas forcément les mêmes méthodes ; les mêmes psychothérapies mais n’oubliez pas ; leur travail reste le même : vous aider à avoir une meilleure santé mentale et physique.

Prenez soin de vous…Samuella, mon psy online.

Mots clés: psychologue, psychiatre,accompagnement psychologique, psychothérapie.

Crédits photos: Google images.

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Je suis Samuella Noumedem, Psychologue basée à Douala au Cameroun et je réponds au +237 679972937. Cliquez ici pour me retrouver sur Whatsapp : wa.me/237679972937.