C’est mercredi, et comme promis, on partagera ensemble un sujet pour nous aider à nous sentir bien dans notre corps et dans notre esprit. Aujourd’hui, on s’intéresse à la gestion des émotions chez les tous petits. Beaucoup d’adultes boivent, mangent, fument, parient leurs émotions. Oui, Oui! Souvent, derrière certains comportements blessants, violents; destructeurs et même autodestructeurs; se cache tout simplement une personne qui ne sait pas quoi faire de sa colère, de sa honte, de sa culpabilité; de ses regrets, de son orgueil; de ses angoisses… Du coup, comment aider l’enfant à bien gérer ses émotions, surtout quand elles deviennent négatives ?
L’enfance, c’est la base de beaucoup d’éléments nécessaires à un bon développement affectif sur le long terme. En tant que parent, on gagnerait à apprendre à l’enfant dès le bas âge à comprendre ce qu’il ressent, à mettre des mots dessus pour mieux gérer ses émotions et trouver une manière saine de les exprimer; ce qui lui évitera bien des désagréments à l’adolescence et à l’âge adulte. Je vous laisse écouter.
Vous pouvez retrouver l’épisode précédent ici; ou encore l’épisode 0 qui explique les motivations derrière ce podcast ici.
Musique : IKSON, perfect.Arrangé par Rodrigue FOKOU ( Merci !)
Crédits photos : Janine Robinson, Unsplash.
Avez-vous besoin d”informations, d’orientation ou d’un suivi psychologique ? Pour retrouver des psychologues à votre écoute, cliquez ici: https://www.monpsyonline.com/les-experts/
Je suis Samuella NOUMEDEM, psychologue clinicienne basée à Douala au Cameroun et je réponds au +237 679972937. Cliquez ici pour me retrouver sur Whatsapp : wa.me/237679972937.
C’est mercredi, et comme promis, on partagera ensemble un sujet pour nous aider à nous sentir bien dans notre corps et dans notre esprit. La famille est censée être notre paradis, mais de plus en plus et pour bien des personnes; ce n’est pas le cas . Ce deuxième épisode aborde justement le délicat sujet de la vie avec des personnes toxiques en famille, et son impact sur notre santé mentale. C’est un sujet sensible en milieu africain en général; et camerounais en particulier; à cause des valeurs transmises qui sont remises en question dans ce contexte précis. Il est à noter qu’en dehors du cercle familial, on peut retrouver les personnes toxiques sur le lieu de service; parmi nos amis et même à l’église. Je vous laisse écouter.
Vous pouvez retrouver l’épisode précédent ici; ou encore l’épisode 0 qui explique les motivations derrière ce podcast ici.
Bonne écoute et à Mercredi prochain !
Mots clés : podcast, psychologie, santé mentale, vie de famille, personnes toxiques, Cameroun, épisode 2
Musique : IKSON, perfect.Arrangé par Rodrigue FOKOU ( Merci !)
Crédits photos : Karolina Grabowska, Pexels
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Coucou! C’est mercredi, et tous les mercredis on partagera ensemble un sujet pour nous aider à nous sentir bien dans notre corps et dans notre esprit. En effet, bien des choses dans notre vie quotidienne dépendent de la qualité de notre santé mentale. Ce premier épisode aborde justement l’importance de la santé mentale, le bien fondé d’en prendre soin et d’agir pour veiller sur elle. Vous pouvez retrouver l’épisode 0 qui explique les motivations derrière ce podcast ici.
Bonne écoute et à Mercredi prochain !
Mots clés : podcast, psychologie, santé mentale, bien-être, développement personnel, Cameroun, épisode 1
Musique : IKSON, perfect.Arrangé par Rodrigue FOKOU ( Merci !)
Crédits photos : Picha, Pexels
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PRENEZ SOIN DE VOUS! est un podcast proposé par le média Mon Psy online. C’est votre espace, notre espace, celui dans lequel je partage avec vous tout ce qui peut nous aider à prendre soin de notre santé mentale.
Emotions, pensées, comportements, personnalité, rapports avec les autres, connaissance de soi, troubles de la santé mentale, relations amoureuses, vie conjugale, sexualité, spiritualité, santé mentale au travail, développement personnel; parentalité positive; éducation des enfants et bien d’autres choses encore sont autant de sujets que je vous propose de revisiter ensemble pour se sentir bien dans son corps et dans son esprit aussi. Cet épisode est une sorte de petite introduction, prenez quelques minutes pour prendre soin de vous.
Bonne écoute et à mercredi prochain!
Mots clés : podcast, psychologie, santé mentale, bien-être, développement personnel, Cameroun, épisode 0
Musique : IKSON, perfect.Arrangé par Rodrigue FOKOU ( Merci !)
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Avez-vous déjà entendu ce mot, résilience ? Oui ? Non ? En tout cas, elle nous accompagne tous, certains un peu plus que d’autres ; mais elle est présente chez la plupart des êtres humains. Pourquoi ? On a tous été confrontés à des moments difficiles, douloureux et éprouvants : décès brutal d’un proche, perte d’un emploi, ruptures, agressions, maladies, accidents catastrophes naturelles, guerres. Des périodes troubles et traumatisantes, qui la plupart du temps nous brisent ; nous laissent complètement perdus ; mais au même moment sans que l’on ne soit toujours conscient, ces évènements négatifs révèlent en nous une force qui grandit peu à peu et qui nous aide à continuer d’avancer : la résilience.
Concept rendu populaire par le neuropsychiatre Boris Cyrulnik à travers son ouvrage un « merveilleux malheur » ; le concept de résilience en physique désigne «la capacité d’un corps à résister à un choc, et ensuite à retrouver sa structure initiale.» En psychologie, elle renvoie à «la capacité à réussir à vivre et à se développer positivement, de manière socialement acceptable, en dépit du stress ou d’une adversité qui comporte normalement le risque grave d’une issue négative. » La résilience est donc ce processus de reconstruction, qui nous permet de reprendre sa vie en main après une épreuve ; après avoir perdu son autonomie ou après avoir vécu une succession de douleurs.
Comment ça se passe ?
En général, lorsqu’on traverse une situation difficile ; on est assailli par la souffrance, les pensées négatives ; le désespoir ; le découragement et on a tendance à se résigner ; à s’apitoyer sur son sort ; on a l’impression que c’est sans issue ; ce qui est tout à fait normal. Mais, ce dont on se rend difficilement compte sur le moment; c’est que la difficulté de l’instant nous pousse à puiser en nous les ressources personnelles nécessaires à notre survie qui finissent par nous aider à surmonter l’épreuve.
Pendant ces moments, on s’appuie sur tout ce qu’on a en nous pour maintenir la tête hors de l’eau ; ça peut être notre foi ; le soutien des autres, notre type de personnalité, nos croyances ; la présence d’un être aimé ou l’accompagnement d’un professionnel. En plus de cela, selon la personnalité de tout un chacun et la sévérité de l’épreuve, des moyens de défense internes vont se mettre en place pour protéger l’équilibre de la personne affectée. Il s’agit par exemple du clivage, quand le moi se divise en une partie socialement acceptée et une autre, plus secrète. Le déni permet de ne pas voir une réalité dangereuse ou de banaliser une blessure douloureuse. Les autres mécanismes de défense sont la rêverie, l’intellectualisation, l’abstraction et enfin l’humour. Bien que certains de ces mécanismes de défense soient rigides et peuvent nuire à long terme à l’épanouissement de l’individu ; ils participent tous à la construction de la résilience.
Ainsi, guerre, terrorisme, accidents de la vie, maltraitance, abus sexuels, mais aussi des circonstances plus quotidiennes comme le chômage ; une maladie physique ou mentale ; une relation abusive ; les violences conjugales ; un proche toxique ou encore le harcèlement au travail : ces événements peuvent, selon chacun, représenter ou non un traumatisme et nécessiter la mise en œuvre d’un processus de résilience. Chaque individu étant unique ; nous n’avons pas tous la même réaction face aux évènements, et seul chaque patient sait l’intensité du trauma qu’il a subi. De ce fait, ce qui affecte profondément l’un peut être aisément surmonté par un autre. En plus de cela, il est possible que ce soit à la suite de plusieurs chocs que la goutte d’eau de trop déborde et que le trauma se manifeste. C’est par exemple le cas du personnel soignant ; et des professionnels de la sécurité (gendarmes, policiers, militaires) qui côtoient au quotidien les souffrances des autres et sont susceptible de développer ensuite ce qu’on appelle le trauma vicariant ou fatigue de compassion.
Que faire pour construire sa résilience ?
S’il est vrai que c’est très difficile de rester confiant quand tout va mal ; il est tout aussi vrai que malgré les déboires et les échecs passés, nous sommes là malgré tout. A ce moment, nous ne pensions pas pouvoir nous relever ; mais aujourd’hui, nous sommes debout ; certains plus forts ; d’autres le sont moins ; c’est pas grave c’est un cheminement. Voici quelques pistes qui nous aident à construire notre résilience :
Accepter le traumatisme…
J’aime souvent dire que l’acceptation c’est la clé ; accepter la situation, la douleur, la difficulté, la souffrance. Accepter que c’est arrivé, qu’on ne peut pas tout contrôler ; que malgré nos efforts la situation ne s’améliore pas et que les choses ne seront peut-être plus comme avant. C’est vrai que dans les cas de violences sexuelles ou d’accidents ayant conduit à une amputation par exemple, le choc des premiers instants laisse souvent place à une sorte de déni ; de repli sur soi ; de dégoût et même de refuge dans le rêve (pour un enfant par exemple), un peu comme une légitime défense selon Boris Cyrulnik. C’est normal, mais nier sa souffrance ou le traumatisme qui est à l’origine n’aide pas à le surmonter et nous bloque dans le passé.
Se reconstruire…
Quand tout va mal ; on pleure, on souffre on se résigne ; réactions humaines et normales sur lesquelles on a tendance à se concentrer. Mais, avec le recul ; essayons de regarder de plus près : la situation était douloureuse, mais elle nous a aussi apporté des éléments positifs ; elle a mis en avant nos faiblesses et aussi nos forces ; des aspects de nous qu’on ne soupçonnait pas. On se rend progressivement compte que notre vision de la vie change ; notre attitude par rapport à ce qui continue de nous arriver s’améliore. De ce fait, on réagit mieux face aux difficultés, on est plus confiant, on apprend à anticiper, à éviter et à contourner les obstacles ; bref on continue d’avancer en se débrouillant mieux que par le passé. On a les mêmes blessures qui cicatrisent petit à petit, mais la douleur ne nous empêche plus d’avancer. Dans d’autres cas, on réalise qu’on a pu relever certains défis, on comprend qu’on a un potentiel unique ; on change d’orientation et on trouve enfin sa voie. On peut voir par exemple un jeune homme ayant subi de nombreux échecs sur le plan professionnel dans un environnement socioéconomique difficile utiliser ses souffrances pour peindre de magnifiques toiles. Ou encore, une jeune femme qui a enfin pu mettre un terme à une relation abusive, de violences physiques et psychologiques, mettre sur pied une cellule d’écoute pour d’autres personnes ayant vécu la même chose.
On n’est pas tous égaux devant l’épreuve, certaines personnes parviennent toutes seules à construire leur résilience pendant que d’autres ont besoin de soutien. Ce dernier peut venir de la présence affective de l’entourage (proche, conjoint, amis, psycho praticien, pasteur …).
La résilience…pour tout le monde ?
Y a-t-il des personnes plus résilientes que d’autres ? Oui et Non.
La capacité de résilience est liée aux différents types d’attachements (on reviendra dessus dans un prochain article) qui nous ont construits. Si les liens d’un bébé à sa mère sont forts et sécures, ils peuvent durablement le protéger. Il sait ainsi, dans sa mémoire et dans sa biologie, qu’il pourra se défendre.
À l’inverse, l’isolement rend vulnérable aux traumatismes, tout comme il retarde la résilience. On se bat moins bien lorsqu’on est vulnérable.
Seamless pattern of a crowd of many different people profile heads. Vector background.
La résilience est aussi fortement influencée par la famille, la communauté, la culture, et la société dans laquelle on vit. Si une maladie, un accident, des difficultés à concevoir ou à se marier sont perçues comme un échec, une sentence ou une souillure ; il est clair que le processus de reconstruction sera difficile et complexe. Si à l’inverse ; on est dans un environnement où les personnes sont encouragées à s’exprimer, partager leurs expériences et militer pour donner un sens à leurs souffrances ; la résilience sera possible.
Par ailleurs, la signification du choc par rapport à l’histoire personnelle de la personne, et aussi de sa forme peut faciliter ou non le processus de résilience. La souffrance causée par la nature (éboulement, inondation) est susceptible d’être mieux traversée que celle causée par un individu (maltraitance, abus, conflits armés).
Ce qu’il faut retenir …
Nous avons tous la capacité d’être résilient. Car c’est avant les difficultés, la douleur, la souffrance, le traumatisme que l’on acquiert les moyens d’y faire face : notre capacité à mettre les mots sur ce que nous ressentons, et la qualité de nos « attachements sécures », ces liens de confiance avec les autres (famille, amis, etc.) qui nous rassurent sur notre aptitude à nous défendre.
Il est donc important de renforcer sa confiance en soi, d’entretenir des liens profonds avec d’autres personnes, de considérer les crises de la vie comme des étapes nécessaires, de ne pas craindre les changements : les solutions reposent en chacun de nous.
La vie, je ne vous apprends rien, c’est aussi ça, les hauts et les bas, ça fait partie du jeu c’est comme ça. On a l’habitude de dire que « la souffrance est école de sagesse », c’est pas pour dire qu’il faut absolument souffrir pour apprendre ou pour devenir quelqu’un de meilleur. Ça veut surtout dire, qu’on peut grandir à travers tout ce qu’on traverse, je nous le souhaite en tout cas.
Prenez soin de vous, Samuella Mon Psy Online .
Mots clés: psychologie, traumatisme, résilience.
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La psychologie peut être comprise de manière simple comme étant la science qui étudie le comportement humain. Dans « comportement humain« , on retrouve l’attitude (le non verbal qui comprend les gestes ; les expressions du visage ; la posture ; le regard l’apparence, bref tout ce qu’on ne dit pas avec des mots; et le verbal), les pensées (ce à quoi on pense), les émotions (ce que l’on ressent) ; les rapports corps esprit (l’impact de notre état d’esprit sur notre état physique et vice versa) ; et les relations avec les autres (la manière d’être avec les autres).
Elle
fait partie des sciences dites humaines telles que la sociologie,
l’anthropologie…
Elle
touche aussi à plusieurs domaines d’étude tels que le social, l’enfant, les
organisations, la psychopathologie, la clinique, la recherche…
Pharmacie ou pisichologie !!!
A quoi ça sert ?
Plusieurs d’entre vous se disent sûrement : « c’est bien beau tout ça ! (Tout ce qui est dit plus haut), et ensuite vont se poser des questions dans le genre : « mais qu’est -ce que ça va m’apporter ? Pourquoi est-ce que j’irai voir un psy ? Qu’est-ce qu’il pourrait bien me dire qu’une de mes connaissances ne me dirait pas et gratos en plus ? » ou alors, on n’en a pas besoin ici ! Toutes ces questions sont légitimes et fondées, et je vais donner ce qui à mon avis est une réponse parmi tant d’autres.
Pour commencer, comme un sage l’a si bien dit : « connais-toi toi-même ». Eh oui ! Avant toute chose, il est nécessaire de savoir qui on est, d’apprendre à comprendre nos pensées, nos émotions et notre comportement. Il est important d’écouter ce qu’on ressent, de s’accepter et de s’aimer pour pouvoir être bien dans sa tête et pour pouvoir vivre sainement avec les autres. Bien au-delà des livres et de l’abstrait, la psychologie c’est la vie au quotidien, elle est présente dans chacune de nos actions et interactions. Vous conviendrez donc avec moi que la psychologie nous aide à mieux nous connaitre, connaitre les autres et au final trouver notre équilibre; ce qui est absolument primordial pour entreprendre quoique ce soit dans la vie de tous les jours.
A ce niveau, vous me direz peut être : « ok, si ça m’aide déjà dans ce sens, je n’ai pas besoin du psy alors ! » Je vous répondrai : « n’en soyez pas si sûr ! ». Il est possible que vous en ayez besoin si on suit la logique du haut : apprendre à se connaitre pour ensuite connaitre les autres est un chemin long, parfois douloureux et assez complexe. Il arrive parfois qu’on n’arrive plus à avancer parce qu’on doive faire face à des aspects de nous et de l’autre qui ne sont pas beaux et qui affectent plusieurs aspects de notre quotidien. En général, on se tourne vers un ami, un proche ; un prêtre ; un marabout ; mais c’est aussi à ce niveau que l’aide d’un psychologue est bénéfique.
C’est un professionnel qualifié, il n’a aucune affinité avec vous, il est objectif ; impartial ; vous écoute ; ne vous juge pas et est capable de prendre du recul. Tout ceci dans le but de vous aider à aller mieux en tenant compte de votre personnalité et de la particularité de votre situation.
De plus, on sait tous qu’on a un corps et un esprit même si
on a tendance à oublier ce dernier parce qu’on est beaucoup plus préoccupé par
ce qu’on voit. Les deux éléments sont pourtant liés !
Voyez vous-même : si on est capable de faire attention à ce qu’on mange ; nos boissons et vêtements ; au nombre de kilogrammes qu’on prend ou qu’on perd ; si on est capable d’aller consulter un médecin et même un spécialiste parce qu’on a un mal de tête qui ne finit pas ou le cœur qui bat beaucoup plus vite…
Pourquoi est- ce qu’on ne pourrait pas voir un psychologue parce qu’on est triste tout le temps sans raison ; parce qu’on a des idées qui nous obsèdent et qui nous inquiètent au point de nous empêcher d’être productif au boulot ou à la maison, ou encore parce que nos relations avec les autres sont toujours sous haute tension à cause de la mauvaise gestion de notre colère ? Pourquoi est- ce qu’on irai pas le voir juste pour se sentir mieux ; pour améliorer notre qualité de vie ? Pourquoi ? Moi, je diraipourquoi pas ! Tout comme on pense à rencontrer un médecin pour avoir un avis sur la santé d’un proche, on peut voir un psychologue par rapport au comportement d’un adolescent ; parce qu’on veut mieux se connaitre ou encore parce qu’on vit avec quelqu’un qui souffre de maladie mentale.
Consulter un psychologue? Pourquoi pas? Difficultés relationnelles, conflits familiaux, insomnie, dépression, troubles alimentaires,conseil psychologique, groupe de soutien…
En bref, tout comme on a à cœur de prendre soin de son corps ; on doit aussi prendre soin de son état d’esprit ; car en fait la santé c’est le bien-être autant sur le plan physique que sur le plan mental. Prendre soin de soi, c’est alors prendre soin de ces deux parties qui forment l’individu que chacun de nous est ; et à ce niveau, la psychologie aussi nous aide à y arriver.
Alors, oui c’est peut être nouveau, ça peut être compliqué voir même embarrassant ; mais c’est une discipline qui a sa place et qui trouve toutes ses raisons d’être dans le fait indéniable que nous existons, que nous vivons. Elle ne comprend pas forcément tout et elle est loin d’avoir réponse à tout ; mais pour ceux qui veulent s’y intéresser ; en savoir un peu plus ; elle ne pourra que leur apporter le plus grand bien…
Prenez soin de vous…Samuella, mon psy online.
Mots clés: psychologie, comportement, corps/esprit, bien-être.
Crédits photos: Google images.
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