C’est Mercredi, et comme promis, on partage un sujet pour nous aider à nous sentir bien dans notre corps et dans notre esprit. On s’intéresse aujourd’hui à la santé mentale des tous petits. Il est tellement « grincheux », elle est trop « capricieuse », tous ces petits mots qu’on utilise sans mauvaise intention, mais régulièrement pour décrire nos enfants; ne sont pas sans effet sur leur personnalité.
Dans ce 31e épisode, découvrons ensemble le pouvoir des étiquettes chez l’enfant comment cette façon de faire peut crystalliser certains traits de caractère qu’on voudrait pourtant ne plus voir chez l’enfant. On le fait toujours pour sensibiliser et s’améliorer
Vous pouvez réécouter l’épisode précédent ici ou encore l’épisode 0 qui explique les motivations derrière ce podcast.
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Je suis Samuella Noumedem; psychologue clinicienne ayant travaillé au Cameroun, actuellement du coté d’Ottawa au Canada, je vous propose un accompagnement psychologique en ligne quelque soit votre lieu de résidence. Je réponds au +237 679972937. Cliquez ici pour me retrouver sur Whatsapp : wa.me/237679972937.
C’est mercredi, et comme promis, on partage un sujet pour nous aider à nous sentir bien dans notre corps et dans notre esprit. Comment se portent nos enfants pendant qu’ils vont à l’école? Qu’est-ce qui pourrait expliquer certains comportements observés: violence, agressivité envers les camarades et les professeurs; consommation de drogue, comportements sexuels à risque, suicide…etc.?
Dans ce 22e épisode, on aborde la question de la santé mentale à l’école dans le but de comprendre; de prévenir certaines situations dramatiques et de nous aider à AUSSI prendre soin de la santé mentale de de nos enfants.
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Dans les faits et surtout en ce qui concerne les enfants, c’est beaucoup plus compliqué que ça. Savoir dire oui ou non dès le plus jeune âge est aussi quelque chose qui s’apprend. Il est indispensable d’apprendre la notion de consentement à nos tous petits le plus tôt possible.
L’urgence est d’autant plus signalée quand on observe l’augmentation tragique d’abus et de violences sexuelles sur mineurs. Ceci se passe dans une culture où la place de l’aîné est sacralisée, où on se doit d’obéir, de « respecter » les tatas, les tontons; les grands cousins. On a l’habitude de confier son enfant à un proche dans la famille, de passer les vacances les uns sur les autres (non pas que ce soit un problème, mais ce n’est pas non plus sans risque). Il est donc très important d’apprendre à nos tous petits à ne pas accepter n’importe quoi (sur le plan physiqueet même psychologique).
Oui ou non!
Il faut souligner que quelque part, c’est difficile, puisqu’il ne faut pas repousser (au risque de paraître impoli) la tata qui nous fait bisou, ou le grand cousin qui nous porte sur ses genoux. Mais l’enfant a le droit de dire: « non, je suis mal à l’aise »; et nous les adultes (ceux qui sont équilibrés en tout cas) avons l’obligation de demander à chaque fois: « je peux t’embrasser? » au lieu de « viens me faire un bisou! ». Tous ces petits gestes qu’on a normalisé sans arrière pensée est ce qui, quelque part contribue au fait que l’enfant croie qu’on peut le toucher n’importe comment. De ce fait; lui apprendre que son corps lui appartient , que personne n’a le droit de le forcer à faire quelque chose qu’il ne veut pas, que son consentement est important peut l’aider à être plus vigilant. De plus; lui expliquer cette notion permet à l’enfant de développer son estime de soi, la conscience de sa propre valeur, la capacité à s’affirmer; à instaurer des limites claires dans ses rapports avec les autres et à respecter celles des autres.
Je vous laisse regarder cette petite vidéo sur le consentement chez l’enfant que j’ai trouvé au cours de mes ballades ça et là.
Vous, comment vous vous y prenez avec votre enfant? Prenez soin de vous, Samuella Mon Psy Online.
Tags : consentement, consentement chez l’enfant, abus sexuelssur mineurs
Crédits photos : Cottonbro de Pexels
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Un enfant qui ne sait pas quoi faire de sa colère; de ses frustrations, de sa peine est un futur adulte qui ne saura pas gérer ses émotions. Ce qui peut causer des troubles du comportement, des violences en milieu scolaire, de l’agressivité; de mauvais rapports avec les autres à l’adolescence et même plus tard. Il est important pour un parent bienveillant d’aider son enfant à gérer ses émotions.
Intitulé La Boîte, ce court-métrage a été réalisé en 2002 par Marie Bouchet. On y découvre une enfant, Louise, qui déverse ses secrets, ses chagrins et ses colères dans une petite boîte cachée sous son lit. Un soir, comme l’indique la description du film, « la boîte s’ouvre sur une étrange créature… »
Regardez plutôt:
A chaque fois qu’un parent empêche (volontairement ou pas) son enfant de mettre des mots sur ce qu’il ressent, l’enfant (tout comme l’adulte) refoule au plus profond de lui ses émotions négatives, et tôt ou tard, elles finissent par rejaillir la plupart du temps de la plus laide des manières. On peut avoir des malaises physiques qui s’enchaînent, des crises d’angoisse, des addictions à l’adolescence, l’enfant devient difficile parce qu’on ne lui a pas appris à gérer ses émotions de manière saine.
On ne le dira donc jamais assez, le dialogue reste le top du top en matière d’éducation. Même après une punition, ou des coups de fouet selon la culture, il est important et positif pour le long terme de parler avec son enfant, pour qu’il se sente non seulement compris, aimé malgré la bêtise, mais aussi et surtout pour qu’on comprenne les raisons derrière l’action et qu’on l’aide à connaitre ses émotions pour mieux les canaliser ensuite, et éviter d’arriver à des attitudes qui vont lui être préjudiciables.
Prenez soin de vous, Samuella Mon Psy Online.
Sources: positiv.fr, Marie Bouchet
Tags : animation, court-métrage, parentalité, gestion des émotions chez l’enfant, psychologie de l’enfant
Crédits photos : Unsplash
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« Quand vous avez l’habitude de critiquer vos enfants, ils n’arrêtent pas de vous aimer, ils cessent de s’aimer. Mettez-vous ça bien dans la tête »
tinybuddah.com
Vue arrière…
Par les temps qui courent, il est de plus en plus difficile de rester proche des enfants, de la famille. Et quand bien même on y arrive, avec l’esprit occupé par la gestion des charges quotidiennes, on se retrouve entrain de perdre patience face aux comportements de nos tous petits. Il s’en suit souvent et assez régulièrement des reproches qui finissent par être perçues comme des paroles blessantes; nocives sur le long terme pur l »épanouissement de l’enfant. Justement! Les enfants (nous plus petits), si on en parlait?
En fait, tellement de comportements, d’attitudes, de personnalités; de croyances sont fortement influencés négativement et positivement par notre enfance. On se construit sur la base des modèles parentaux qu’on a eu, des liens qu’on a pu tisser et sur les expériences qu’on a pu faire. Et même nos relations amoureuses et amicales dépendent parfois du type d’attachement qu’on a eu avec nos premiers objets d’amour: nos parents! Cela ne s’applique pas à tout le monde; mais pour bien des personnes, c’est vrai.
Ah les émotions!! On s’aime parce qu’on nous a aimé, parce qu’on s’est senti aimé…On manque de confiance en soi parce qu’on n’a pas été valorisé (pas de mots gentils, ni d’encouragement, pas de » bravo; tu as bien fait » ; mais plutôt , »tu n’as pas honte? tu ne peux pas faire comme tel? ») ou alors parce qu’on a été surprotégé. On « saccage » son histoire d’amour parce qu’à la base, on a été humilié, exploité, abusé, abandonné, trahi et donc inconsciemment, on n’a le sentiment qu’on ne « mérite » pas quelque chose de bien ou qu’on n’est pas « digne » d’être aimé.e …
Vue de face…
Eh oui, nous sommes tous de grands enfants, et parce qu’il est plus facile d’élever des enfants forts que de réparer des adultes brisés (Frederick Douglass), faisons attention à ceux qui sont sous notre responsabilité. Comme tout être humain, l’enfant n’est pas parfait! Au lieu de manifester une belle indifférence à ses « bons » comportements ou passer le temps à le cribler de critiques; de reproches, de mots blessants comme si ce n’est qu’en ce moment là qu’on remarque son existence ;il faudrait revoir son attitude, le ton et la manière employés pour ne pas détruire l’amour qu’il a de lui même. En effet, les MOTS que nous utilisons pour nous adresser à eux peuvent créer des MAUX dangereux dans leurs esprits et dans notre relation avec eux.
II n’y a pas que la sécurité matérielle dont un enfant a besoin; il n’y a pas que les reproches qui l’aideront à s’améliorer; il a aussi besoin de se construire positivement à travers nous; à travers nos échanges, nos paroles, nos encouragements, notre conduite, notre discipline, notre attention, notre présence, notre amour.
Ce qui peut aider…
Même si c’est dur; essayons d’accorder un temps de QUALITE, de privilégier des PAROLES qui rassurent, des attitudes qui favorisent le sentiment de sécurité, des marques d’affection physiques favorables au bon développement affectif de l’enfant.
Prendre son enfant dans ses bras après l’avoir grondé ; lui expliquer pourquoi on le punit, ou lui dire qu’on l’aime après l’avoir fait ;ou même lui demander des excuses quand on reconnait qu’on est allé trop loin; nous aide à faire la différence entre l’enfant et le comportement qu’on lui reproche tout en lui montrant notre amour : il ne sent pas réduit à sa bêtise, continue à se sentir aimé ; ce qui va le pousser à faire des efforts pour s’améliorer. Il serait bien dommage que devenu adulte plus tard, il soit malheureux, déséquilibré et insécure dans ces relations et perpétue le cercle vicieux. Ce n’est pas facile, mais en étant plus intentionnel, et conséquent dans son rôle de parent, c’est possible de s’améliorer.
Prenez soin de vous, Samuella Mon Psy Online.
Mots clés : parentalité, éducation des enfants, effet des critiques, parentalité positive.
Crédits photos : Unsplash ; Google images.
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Je viens très humblement auprès de votre haute autorité, vous parler de ce qui pourrait arriver demain, si rien n’est fait aujourd’hui. Tout ne dépend pas de vous, mais quand il s’agit des enfants, une grande partie de leur bien-être en dépend. En gros, cela se résume au simple, mais bien complexe fait d’aimer vos enfants, de les encadrer dans le but de les aider à devenir des adultes épanouis et bien dans leur peau. Et comme ça, ils pourront faire face de manière adaptée aux défis et aux difficultés de la vie de tous les jours.
« Avant avant avaaant, on dansait, on faisait pas palabre ! », cette phrase culte d’une chanson très rythmée du groupe TNT, s’applique à bien des cas de la vie quotidienne. Quand on regarde autour de nous ; bien des choses ont changé ; pas toujours dans le bon sens, et on aime souvent dire : « qu’avant c’était mieux ». Parlant particulièrement du fait d’être parent, cela n’a jamais été chose aisée et on est tous d’accord sur le fait qu’aujourd’hui c’est encore plus compliqué qu’à une certaine époque. Et c’est justement parce que c’est comme ça qu’on doit (je le pense) faire beaucoup plus attention à notre rôle, à notre responsabilité en tant que parents, et surtout à l’impact que nos mots et nos attitudes ont sur la personnalité et le devenir de ces enfants.
Faisons un tour d’horizon !
Combien d’adultes de nos jours sont malheureux ; aigris ; irritables ou tristes ? Combien manquent cruellement de confiance en eux, ont une mauvaise estime d’eux-mêmes ; ce qui les poussent trop souvent à avoir un faux self, et à se faire passer pour ce qu’ils ne sont pas . Que dire de ceux qui sont négatifs, qui n’apprécient jamais rien, qui prennent plaisir à manipuler, à rabaisser et à humilier les autres ? Et ceux qui ne savent pas assumer la responsabilité de leurs actes ; qui refusent de faire face aux conséquences de leurs choix et accusent les autres de tous leurs malheurs? N’en parlons pas de ceux qui sont dépendants ; qui dans leurs relations deviennent envahissants, étouffants, possessifs à cause de leurs propres insécurités et finissent par faire fuir tout le monde ? Que dire aussi de ces adultes qui par peur d’être rejetés ou abandonnés, ne savent pas dire NON, sont prisonniers du regard et des opinions des autres, et finissent par supporter tout et n’importe quoi ? Que faire de ceux qui étouffent, pleins de frustration et de résignation dans l’unique voie qu’on leur a présentée; qu’ils étaient censés « choisir », mais qui leur a finalement été subtilement imposée? Et ceux qui ne savent rien faire parce qu’on a toujours tout fait pour eux?
Oui chers parents d’aujourd’hui, derrière tous ces comportements malsains et personnalités difficiles, se cachent souvent des enfants dont les besoins affectifs ont été incompris, peu, mal, pas du tout ou encore trop comblés. Sous cette apparence d’adulte accompli, il y a encore un enfant à qui on a souvent dit qu’il était bête, que ce n’était pas important ce qu’il avait à dire. Parfois, on lui a fait sentir qu’il nous dérangeait ; on a souvent réagi avec beaucoup de colère face à ses « gaffes » (normales d’enfant) ; on n’a presque jamais eu le temps pour jouer avec lui et ce n’est que quand il était « sage » ou qu’il ramenait de bonnes notes, qu’on lui témoignait notre affection, notre sourire, notre fierté; notre amour. On n’a toujours pensé à ce qu’on estimait être le mieux pour lui, mais on n’a jamais pensé à ce qu’il aimait vraiment.
De ce fait…
De manière involontaire, on ne nous a pas souvent dit à quel point on nous aimait, pour qu’on puisse s’aimer aussi. Du coup, on ne nous pas appris à être fiers de nous ; on ne nous pas assez encouragé à prendre des initiatives et aujourd’hui on n’arrive pas à prendre des décisions. On nous a difficilement transmis le goût de l’effort, de la persévérance ; de nos jours on a du mal à aller au bout des choses : au moindre souci, on abandonne et on enchaîne les éternels recommencements. D’un autre côté, parce qu’on n’a pas souvent pu nous exprimer, par peur des critiques ou des moqueries, on n’arrive pas à s’affirmer et à défendre nos idées. Aujourd’hui encore, on souffre d’insomnies et on est bord de la dépression parce qu’on ne supporte pas l’échec. Pourquoi ? Peut-être parce qu’on nous appris que c’était inexcusable, que de cela dépendait notre valeur ou encore que seule la « réussite » nous rendait digne d’être aimés… Il y a tellement d’exemples qui démontrent que nous sommes tous de grands enfants…
Bien-sûr, loin de moi l’idée de rejeter totalement la faute sur les parents que nous sommes. Élever un enfant est un travail difficile; de longue haleine et honnêtement pas toujours gratifiant. Dans l’adulte que notre enfant deviendra ; il y aura l’inné et l’acquis ; c’est-à-dire ce que la nature lui aura donné et ce que son environnement lui aura apporté. A cela va s’ajouter beaucoup de nous, des liens tissés, des paroles valorisantes ou pas, des comportements bienveillants ou pas ; des expériences partagées, positives ou négatives. Je sais que c’est plus facile à dire qu’à faire ; entre le travail ; les charges quotidiennes, les relations compliquées ; les problèmes d’argent et ses propres problèmes existentiels, c’est compliqué d’être PRESENT pour ses enfants. Il serait bien dommage qu’ils deviennent ces adultes difficiles et malheureux que vous observez autour de vous n’est- ce -pas ?
Alors…
Chers parents, « les parents parfaits n’ont pas d’enfants » (Jane Nelsen). Essayons de faire notre part dans cette histoire, celle qui dépend de nous. Essayons tant bien que mal d’être plus présents, plus intentionnels dans notre parentalité, face à nos responsabilités.
Tout en vous remerciant pour le travail que vous faites déjà au quotidien pour les adultes de demain, et en espérant que cette lettre (pas trop longue je l’espère) fera écho dans vos cœurs, je vous prie d’agréer très chers parents (ceux qui essaient de l’être en tout cas), l’expression de ma sincère admiration et de mon profond respect.
P.S : J’ai oublié, en plus de tout ça, c’est très important ; prenez soin de vous…
Samuella, Mon Psy Online
Mots clés: parentalité, éducation des enfants, parents.
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